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Nous portons tous dans notre ADN notre famille, notre histoire généalogique et même archéologique. Il est possible non seulement de connaître la proportion de nos ancêtres issus des différentes régions du monde à l’âge du bronze, mais aussi de retrouver des cousins contemporains ou de lever des énigmes généalogiques sur les cinq derniers siècles.
Epuisé
L’Allemagne et la France se sont affrontées à trois reprises en l’espace de soixante-dix ans. Ces conflits ont augmenté en intensité, en horreur, en durée et en étendue géographique. Raison pour laquelle la guerre franco-prussienne de 1870-1871, le premier de ces affrontements, a été oubliée. Non pas parce qu’elle a été perdue.
Mobilisation massive, invasion du territoire, bombardements intensifs des villes assiégées, déroute d’armées entières et capture de prisonniers sans nombre…
Nombreux sont les généalogistes qui ont trouvé au détour de leur arbre un grand-oncle curé ou une grand-tante religieuse, car il n’était pas rare autrefois que plusieurs frères choisissent les ordres ou que des soeurs prennent le voile.
Évoquer les papiers de famille, c’est dans un premier temps penser aux nôtres, à nos paperasses du quotidien. Elles nous semblent d’autant moins importantes qu’elles ne sont pas chargées d’histoire. À l’heure du zéro papier, on souhaite souvent faire le vide. Pourtant des délais légaux obligatoires nous imposent d’en conserver certaines. Encore faut-il les connaître.
Les registres paroissiaux constituent une source d’information d’une extraordinaire richesse pour l’histoire des familles. Mais, si vous pensiez tout connaître de vos ancêtres après avoir repéré les données généalogiques habituelles (les patronymes, les dates, les lieux…), vous allez découvrir avec ce fascicule que bien d’autres informations sont disponibles dans ces documents et qu’une lecture attentive, parfois entre les lignes ou mise en perspective avec d’autres actes, va vous permettre de les découvrir. Car, dans un acte, tout a du sens ! Il ne faut négliger aucune information, y compris les plus évidentes, les plus anodines ou celles qui sont sous-entendues.
Deux scoops avec ce nouveau livre : des analyses et des classements des noms de famille par la fréquence, jamais publiés jusqu’ici, sont donnés sur quatre siècles : 1650, 1750, 1900 et 2000.
Ces palmarès ont été établis à partir :
En clair : de quoi suivre les noms de famille et leurs évolutions sur quatre siècles, une première !
Comment, grâce aux documents d’archives, connaître la composition, la taille et la structure des ménages de nos ancêtres ? Comment vivaient-ils en famille ? Quelle était la place de chacun dans la famille ? Comment identifier leur parenté, proche ou lointaine, leurs voisins, leurs amis, et définir la nature des relations avec chacun d’eux...
Ce fascicule est le premier d’une série consacrée à l’analyse des actes notariés. Il s’intéresse principalement aux actes majeurs que constituent, pour le généalogiste, le contrat de mariage, le testament et l’inventaire après décès.
L’Allemagne et la France se sont affrontées à trois reprises en l’espace de soixante-dix ans. Ces conflits ont augmenté en intensité, en horreur, en durée et en étendue géographique. Raison pour laquelle la guerre franco-prussienne de 1870-1871, le premier de ces affrontements, a été oubliée. Non pas parce qu’elle a été perdue.
Mobilisation massive, invasion du territoire, bombardements intensifs des villes assiégées, déroute d’armées entières et capture de prisonniers sans nombre…
Comment retrouver la filiation ?
La Convention internationale relative aux droits de l’enfant reconnaît à chacun, « dans la mesure du possible, le droit de connaître ses deux parents » et la France admet dans le Code de l’action sociale et des familles « l’importance pour toute personne de connaître ses origines et son histoire ».
La Nouvelle-Calédonie est un territoire peu connu en France métropolitaine. La généalogie est une « science » récente sur le territoire calédonien. Car, d’une part, un nombre restreint de documents d’archives sont proposés en ligne, et d’autre part ce pays est l’héritier d’une civilisation de tradition orale, les peuples Kanak. Le rapport à l’écrit, malgré une alphabétisation.
Les traditions, l’histoire, les héritages et les généalogies se sont transmis pendant longtemps par oral. Par ailleurs, pour une partie de la population d’origine européenne issue de la colonisation pénale, il y a eu clairement une volonté d’enfouir le passé supposé honteux des aïeux relégués aux antipodes. De nombreuses archives relatives au bagne ont été détruites après la fermeture de celui-ci.
Le défi de cet ouvrage s’avère donc triple : démontrer qu’il est possible de retracer une généalogie, même sur quelques générations, en dépit du « maquis archivistique » et de la dispersion géographique des documents ; permettre de faire le lien entre ce territoire, le plus éloigné au monde de la France (17 000 km), et la métropole à travers la mise en valeur d’un passé commun et proposer un panorama des sources concernant les multiples communautés installées progressivement en Nouvelle-Calédonie depuis le milieu du XIXe siècle.
Dans beaucoup de paroisses, les registres paroissiaux sont aussi le confident du prêtre qui, en véritable « journaliste » local, note dans les actes, dans les marges ou sur les feuillets restés blancs des mentions insolites, évènementielles, sur le temps, les récoltes, les fléaux, la fluctuation des prix, les faits divers, les naissances ou les sépultures extraordinaires et bien d’autres sujets encore…
Que sait-on des grandes épidémies de peste qui frappèrent la France ? Comment la maladie s’est propagée dans les villes et les campagnes ? Comment vivait-on quotidiennement au temps de la peste ? Comment s’organisa la lutte contre la maladie ? Quelles en furent les conséquences pour les familles de nos ancêtres ? Avec 5 cartes de France pour identifier les villes et les « pays » touchés par la peste de 1580 à 1688.