Décès, disparitions, et successions en généalogie (3ème édition)
Naissance, mariage, décès : voilà la trilogie des actes essentiels en généalogie, les trois bases nécessaires à toute quête d’ascendance. Mais l’acte de décès, le plus difficile à dater et localiser, échappe souvent aux recherches. D’abord parce que la plage de temps à explorer peut être particulièrement vaste : un ancêtre peut mourir à vingt ans comme à cent. Ensuite parce que cela peut survenir n’importe où : au cours d’un voyage ou d’une guerre. Enfin parce que le décès peut n’avoir jamais été enregistré, et que c’est un acte judiciaire tardif qui remplacera l’acte d’état civil manquant.
Un guide répertoriant les pistes de recherche possibles et donnant des conseils pratiques était donc indispensable.
Nos ancêtres et les mentions insolites des registres paroissiaux
Dans beaucoup de paroisses, les registres paroissiaux sont aussi le confident du prêtre qui, en véritable « journaliste » local, note dans les actes, dans les marges ou sur les feuillets restés blancs des mentions insolites, évènementielles, sur le temps, les récoltes, les fléaux, la fluctuation des prix, les faits divers, les naissances ou les sépultures extraordinaires et bien d’autres sujets encore…
Vous ne savez pas comment démarrer la recherche de vos ancêtres polonais ? Une première tentative a abouti à un blocage que vous ne voyez pas comment surmonter ? Malgré les difficultés initiales (distance, langue) parfois décourageantes, et la légende racontant que les archives polonaises ont toutes été détruites, une recherche généalogique en Pologne à partir de la France est tout à fait possible avec de bonnes chances d’aboutir, à condition d’en connaître les écueils et de savoir la marche à suivre.