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Pour tout le XIXe siècle et une bonne moitié du XXe siècle, les documents liés aux élections sont facilement accessibles et conservés en série 3M des archives départementales. Ils sont passionnants pour le généalogiste.
Epuisé
Raconter, c’est d’abord partager. Inutile de raconter votre histoire si personne ne vous écoute. Raconter, c’est aussi bien dire ce que l’on a fait hier qu’expliquer ce qu’était la famille il y a 250 ans.
Epuisé
Vous recherchez l’histoire d’une maison au cœur d’une grande ville, la vôtre ou celle de vos ancêtres, ou vous voulez étoffer la généalogie de ceux qui y vivaient ? Les archives du cadastre sont utiles.
2ème édition augmentée (96 pages au lieu de 64 pages)
Vous avez perdu la trace de vos ancêtres et vous ne savez pas de quelle localité ils sont originaires ? Vous voulez savoir avec qui vivait votre arrière grand-mère qui a eu un enfant sans être mariée ? Vous voulez connaître le nombre de domestiques à demeure chez votre richissime aïeul ?... Les recensements anciens peuvent répondre à toutes ces questions, mais de façon plus ou moins précise selon les époques. Où trouver les recensements ? Comment les explorer ? Comment en tirer le maximum d’informations généalogiques ? Ce guide pratique vous l’indique pas à pas.
Epuisé
Évoquer les papiers de famille, c’est dans un premier temps penser aux nôtres, à nos paperasses du quotidien. Elles nous semblent d’autant moins importantes qu’elles ne sont pas chargées d’histoire. À l’heure du zéro papier, on souhaite souvent faire le vide. Pourtant des délais légaux obligatoires nous imposent d’en conserver certaines. Encore faut-il les connaître.
Comment retrouver la filiation ?
La Convention internationale relative aux droits de l’enfant reconnaît à chacun, « dans la mesure du possible, le droit de connaître ses deux parents » et la France admet dans le Code de l’action sociale et des familles « l’importance pour toute personne de connaître ses origines et son histoire ».
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Le Pas-de-Calais de 1500 à nos jours Un département, une histoire
Hugues Drugy, l'ancêtre de l'auteur, est né en 1645 à Bucquoy, dans un temps où, sur le papier, l'Artois fait encore partie des Pays-Bas espagnols.
Retrouver ses ancêtres dans les archives, c’est bien. Pouvoir montrer le résultat obtenu à sa famille, c’est encore mieux. C’est la cerise sur l’arbre généalogique !
Nous avons tous des ancêtres qui ont participé aux guerres de la Révolution et de l’Empire. On a compté plus de huit millions de combattants et plus d’un million de morts sur vingt ans en Europe… pour une population française de 28 millions en 1789. Autant dire que toutes les familles sont concernées et que la saignée, étalée sur une plus longue durée de temps, a été aussi traumatisante pour le pays que celle de 1914-1918.
Les fonds d’archives permettant de reconstituer des biographies et de retrouver le quotidien d’ancêtres disparus parfois depuis des siècles ne sont pas faciles à explorer. Ce guide, pratique et synthétique, aborde dans une première partie les fonds et l'organisation du travail en archives (sur place ou sur Internet), dans une seconde partie, les centres d'archives classés par département.
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Conservées depuis le XVIIe siècle, les archives des armées et du ministère de la Guerre constituent aujourd’hui des fonds d’une richesse exceptionnelle.
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La généalogie basque n’est pas chose facile : le rôle prépondérant de la maison (etxe), point d'ancrage de toutes les traditions, la transmission du patrimoine à travers les aînés garçon ou fille (primogéniture), le sort réservé aux cadets et les changements fréquents de nom patronymique peuvent dérouter le chercheur.
En généalogie, on commence par collecter des noms, des dates, des lieux. Puis on veut découvrir le quotidien de ses ancêtres. S’ils ont été enseignants, la recherche est plus facile que pour d’autres professions, tant les fonds d’archives sont nombreux… et tant l’endogamie est fréquente : le généalogiste n’entame pas des travaux pour une seule personne mais souvent pour plusieurs.
Les commémorations de la Grande Guerre ont incité beaucoup d’entre nous à accomplir un travail de mémoire sur celui ou ceux de leurs ancêtres qui avaient combattu en 1914-1918. Passer à l’écrit pour transmettre à la famille et aux plus jeunes ce qui a été appris sur « le grand-père qui a fait 14 » est un désir de plus en plus partagé.
On peut hésiter, en faisant l’histoire de sa famille, à fouiller dans les archives des tribunaux. Ne risque-t-on pas de retrouver un ancêtre jugé pour vol ou homicide, condamné à la prison, déporté à Cayenne, voire guillotiné, illustrant de fâcheuse manière une branche morte de l’arbre généalogique ? Au-delà de cette réticence, rentrer dans les papiers du monde de la chicane, c’est aussi craindre de s’égarer dans le maquis des procédures et d’actes aux noms peu compréhensibles.
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