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Puisqu’ils représentaient 70 % de la population au XVIIIe siècle, nous avons tous des paysans dans nos ancêtres. Pourtant, les amateurs de généalogie et d’histoire familiale ne gardent souvent d’eux que les éléments d’état civil, rien de plus. Si des anecdotes sur la ferme familiale ou les conditions de travail sont mémorisées, c’est parce que les générations qui travaillaient la terre sont encore proches et que des souvenirs ont été transmis oralement.
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Les basiques de la généalogie.
L’état civil permet de trouver les noms, les dates et les lieux à faire figurer dans un arbre généalogique. Les documents notariés y ajoutent des anecdotes, des émotions – et transforment parfois en amis familiers des ancêtres vieux de plusieurs siècles.
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Photos, plans, cadastre, architecture, habitants… Vous venez de déménager dans une maison ancienne et vous voulez en savoir plus sur son passé ? Vous gardez la nostalgie d’enfance de la maison des grands-parents où vous passiez vos vacances, maison détruite par les bombardements de la dernière guerre ou les travaux urbains des années 1960 et vous voudriez retrouver des souvenirs de ce passé effacé ?
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Les liens entre la Hongrie et la France sont anciens. Ainsi, des officiers hongrois ont migré en France sous Louis XIV et ont créé ici les premiers régiments de hussards. En sens inverse, au XVIIIème siècle, des Alsaciens et des Lorrains sont partis vers l’Est avec leurs familles et ont contribué à repeupler la plaine du Banat, au nord-ouest de l’actuelle Hongrie.
Nous avons tous des ancêtres qui ont participé aux guerres de la Révolution et de l’Empire. On a compté plus de huit millions de combattants et plus d’un million de morts sur vingt ans en Europe… pour une population française de 28 millions en 1789. Autant dire que toutes les familles sont concernées et que la saignée, étalée sur une plus longue durée de temps, a été aussi traumatisante pour le pays que celle de 1914-1918.
Les fonds d’archives permettant de reconstituer des biographies et de retrouver le quotidien d’ancêtres disparus parfois depuis des siècles ne sont pas faciles à explorer. Ce guide, pratique et synthétique, aborde dans une première partie les fonds et l'organisation du travail en archives (sur place ou sur Internet), dans une seconde partie, les centres d'archives classés par département.
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Conservées depuis le XVIIe siècle, les archives des armées et du ministère de la Guerre constituent aujourd’hui des fonds d’une richesse exceptionnelle.
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En généalogie, on commence par collecter des noms, des dates, des lieux. Puis on veut découvrir le quotidien de ses ancêtres. S’ils ont été enseignants, la recherche est plus facile que pour d’autres professions, tant les fonds d’archives sont nombreux… et tant l’endogamie est fréquente : le généalogiste n’entame pas des travaux pour une seule personne mais souvent pour plusieurs.
Trois points qui suivent une signature ? Un compas et une équerre gravés sur une tombe ? Une écharpe chargée de symboles maçonniques retrouvée dans le grenier familial ?... Il n'en faut pas plus pour que le généalogiste se pose des questions sur l'ancêtre concerné : n'était-il pas franc-maçon ? Comment en savoir plus ?
Sur huit millions de combattants français de la Grande Guerre, quatre millions ont été blessés, dont la moitié au moins à deux reprises, et 700 000 ont été réformés pour invalidité. Autant dire que toutes les familles ou presque sont concernées.
Retrouver ses ancêtres dans les archives, c’est bien. Pouvoir montrer le résultat obtenu à sa famille, c’est encore mieux. C’est la cerise sur l’arbre généalogique !
Contrairement à ce qu’on prétend fréquemment, les Italiens ne sont plus insensibles à l’engouement actuel pour la généalogie. Ils contribuent eux aussi à gonfler désormais les rangs des passionnés.
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Tenter d’en apprendre plus sur la vie professionnelle de nos aïeux est l’un des défis auxquels les généalogistes ont grand plaisir à être confrontés. Découvrir un ancêtre « officier de santé», « chirurgien barbier », « artiste vétérinaire » ou « maîtresse sage-femme » fait partie des surprises que nous réserve la généalogie, d’autant que nous ne comprenons plus ce que recouvraient ces appellations autrefois.
Naissance, mariage, décès : voilà la trilogie des actes essentiels en généalogie, les trois bases nécessaires à toute quête d’ascendance. Mais l’acte de décès, le plus difficile à dater et localiser, échappe souvent aux recherches. D’abord parce que la plage de temps à explorer peut être particulièrement vaste : un ancêtre peut mourir à vingt ans comme à cent. Ensuite parce que cela peut survenir n’importe où : au cours d’un voyage ou d’une guerre. Enfin parce que le décès peut n’avoir jamais été enregistré, et que c’est un acte judiciaire tardif qui remplacera l’acte d’état civil manquant.
Un guide répertoriant les pistes de recherche possibles et donnant des conseils pratiques était donc indispensable.
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On peut hésiter, en faisant l’histoire de sa famille, à fouiller dans les archives des tribunaux. Ne risque-t-on pas de retrouver un ancêtre jugé pour vol ou homicide, condamné à la prison, déporté à Cayenne, voire guillotiné, illustrant de fâcheuse manière une branche morte de l’arbre généalogique ? Au-delà de cette réticence, rentrer dans les papiers du monde de la chicane, c’est aussi craindre de s’égarer dans le maquis des procédures et d’actes aux noms peu compréhensibles.
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