Mon panier
Vide
Il n'y a aucun produit dans votre panier.
TOTAL : 0,00 €
La 2 ème édition 100% actualisée et enrichie du guide pour décrypter et comprendre les archives notariales.
Pour compléter une généalogie ou contourner un obstacle non résolu par les registres paroissiaux ou d'état civil, l'archive notariale se révèle souvent un parfait recours.
Avec ce hors-série de La Revue française de Généalogie, vous pourrez décrypter ces archives notariales, mieux en connaître l'histoire pour mieux en comprendre les subtilités et surtout l'intérêt généalogique.
Profitez des nombreux conseils et astuces de Jean-Louis Beaucarnot, exemples à l'appui, pour explorer les contrats de mariage, testaments, inventaires après décès, baux, ventes et partages à différentes époques. En travaillant cette variété de documents, vous entrez vraiment dans l'intimité des familles, avec ses joies et ses peines. Tout ce qui fait la vie et tout ce dont le notaire était un témoin privilégié. Bénéficiez également d'une sélection complète de sites Internet, avec des archives notariales en ligne.
Adoptez les bons réflexes pour collecter, numériser, classer, nommer, documenter, sauvegarder et conserver vos actes, photos, documents anciens et données familiales.
Profitez des astuces d'organisation expérimentées par des généalogistes, ainsi que nos outils « maison ».
La maison de vos grands-parents a été détruite pendant les bombardements de la dernière guerre mondiale ? La ferme familiale a été réquisitionnée par l’ennemi en 1914 ? Le village de vos ancêtres a connu des combats en 1870 et a été occupé par les Prussiens en 1815 ?... Savez-vous que vous pouvez retrouver les plans de la maison détruite et le détail des pillages éventuels à ces différentes époques ?
Comment retrouver la filiation ?
La Convention internationale relative aux droits de l’enfant reconnaît à chacun, « dans la mesure du possible, le droit de connaître ses deux parents » et la France admet dans le Code de l’action sociale et des familles « l’importance pour toute personne de connaître ses origines et son histoire ».
Epuisé
En 1900, il y avait en France davantage de domestiques que de fonctionnaires. Le mot salarié lui-même était associé à l’idée de domesticité. Les familles qui employaient ces hommes et ces femmes n’ont souvent gardé d’eux que le souvenir de leurs prénoms. Et les descendants des nounous, jardiniers, chauffeurs, gens de maison… connaissent parfois mieux le nom des anciens maîtres que le parcours de vie de leurs propres aïeux. Pourtant, des pistes généalogiques existent, des informations biographiques peuvent être retrouvées en archives.
Epuisé
La Révolution modifie dès 1792 les noms de lieux pour éliminer tout ce qui rappelait l’Ancien Régime ou fustiger les opposants : Toulon la rebelle devient Ville-Infâme, Marseille Ville-Sans-Nom... Dans chaque département, des dizaines de villes et villages changent de nom...
Qui n’a pas trouvé dans son arbre généalogique des pupilles de la nation ? Ce statut créé en 1917 pour les enfants des morts pour la France permet de retrouver en archives des informations familiales et les parcours scolaires.
Epuisé
L’arrivée des Européens au XVIe siècle bouleverse l’équilibre de cette région du monde. Ils s’installent dans des îles vierges de toute population et obtiennent à d’autres endroits des concessions de la part des puissances locales. Des millions de personnes s’installent loin de leur pays natal. Parfois volontairement (comme la plupart des Européens), parfois attirées par la promesse d’un travail (comme les engagistes indiens), souvent contraintes par l’esclavage. Il est indispensable, avant toute recherche familiale dans ces régions, d’avoir en tête l’histoire de ces migrations et de savoir replacer les hommes dans leur contexte historique.
Nous portons tous dans notre ADN notre famille, notre histoire généalogique et même archéologique. Il est possible non seulement de connaître la proportion de nos ancêtres issus des différentes régions du monde à l’âge du bronze, mais aussi de retrouver des cousins contemporains ou de lever des énigmes généalogiques sur les cinq derniers siècles.
Epuisé
Rien n'est plus difficile pour un généalogiste que de retracer l'histoire de familles dont le quotidien était fait de déplacements.
Par curiosité, nous avons tous cherché un jour, sur les bases Internet consacrées à la guillotine, si l’un de nos ancêtres n’avait pas eu la tête tranchée sous la Terreur. Mais la Révolution ne se limite pas à l’échafaud et à la noblesse. Elle a concerné majoritairement le tiers-état (peuple et bourgeois). Ce guide vous donne les clefs d’entrée vers les documents d’époque, formant aux archives départementales des fonds distincts, rarement explorés par les généalogistes. Si votre famille vivait dans des régions « à risque » (l’Ouest, Lyon, le comtat venaissin, etc.) ou si elle avait déjà quelques petits biens (sans être pour autant très fortunée) ou si ses membres savaient lire et écrire (même difficilement), vous pouvez les retrouver : - parmi les victimes de la période (au-delà des condamnés à mort, plus d’un demi-million de personnes ont été emprisonnées entre 1793 et 1794) - parmi les émigrés (qui ne sont nobles que dans 18 % des cas) - parmi les membres des premières municipalités et des différents comités révolutionnaires, les gardes nationaux et les volontaires des armées de la République - parmi ceux que l’on pourrait qualifier de « profiteurs », c’est-à-dire les acheteurs de biens nationaux, parfois simplement des paysans arrondissant leurs lopins avec les terres saisies au clergé ou aux condamnés. Le guide fournit toutes les pistes pour retrouver au mieux vos ancêtres et les événements locaux de la période révolutionnaire à partir des archives (1790-1800).
Epuisé
Pour mieux connaître vos ancêtres entrepreneurs, commerçants, artisans et colporteurs.
Vous avez un ancêtre maréchal-ferrant à Rochefort ? libraire dans le quartier latin ? pâtissier à Tours ? bonnetier à Troyes ? négociant en vins à Rouen ? épicier dans le Limousin ? tonnelier en Alsace ? colporteur en Ariège ? boulanger dans son village ?...
La rubrique faire-part, c’est-à-dire les pages d’annonces des mariages, décès, naissances, est souvent la seule à laquelle songent spontanément les généalogistes lorsqu'on leur parle de la presse ancienne et de son utilité pour l’histoire des familles...
Epuisé