La généalogie basque n’est pas chose facile : le rôle prépondérant de la maison (etxe), point d'ancrage de toutes les traditions, la transmission du patrimoine à travers les aînés garçon ou fille (primogéniture), le sort réservé aux cadets et les changements fréquents de nom patronymique peuvent dérouter le chercheur.
À la veille des commémorations de la Grande Guerre, il était indispensable de permettre aux historiens et aux généalogistes de retrouver les souvenirs du « grand-père qui a fait 14 ». Pas seulement son nom, mais le détail de ce qu’il a pu vivre pendant quatre ans.