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Évoquer les papiers de famille, c’est dans un premier temps penser aux nôtres, à nos paperasses du quotidien. Elles nous semblent d’autant moins importantes qu’elles ne sont pas chargées d’histoire. À l’heure du zéro papier, on souhaite souvent faire le vide. Pourtant des délais légaux obligatoires nous imposent d’en conserver certaines. Encore faut-il les connaître.
Comment retrouver la filiation ?
La Convention internationale relative aux droits de l’enfant reconnaît à chacun, « dans la mesure du possible, le droit de connaître ses deux parents » et la France admet dans le Code de l’action sociale et des familles « l’importance pour toute personne de connaître ses origines et son histoire ».
Epuisé
Avec ce fascicule, nous allons découvrir la situation des artisans et des boutiquiers urbains et ruraux, de chaque profession, sur l’échelle sociale. Nous allons voir comment, sur plusieurs générations, les familles d’artisans et de boutiquiers pouvaient s’extraire de leur condition, s’élever socialement ou parfois régresser.
Le Pas-de-Calais de 1500 à nos jours Un département, une histoire
Hugues Drugy, l'ancêtre de l'auteur, est né en 1645 à Bucquoy, dans un temps où, sur le papier, l'Artois fait encore partie des Pays-Bas espagnols.
La Nouvelle-Calédonie est un territoire peu connu en France métropolitaine. La généalogie est une « science » récente sur le territoire calédonien. Car, d’une part, un nombre restreint de documents d’archives sont proposés en ligne, et d’autre part ce pays est l’héritier d’une civilisation de tradition orale, les peuples Kanak. Le rapport à l’écrit, malgré une alphabétisation.
Les traditions, l’histoire, les héritages et les généalogies se sont transmis pendant longtemps par oral. Par ailleurs, pour une partie de la population d’origine européenne issue de la colonisation pénale, il y a eu clairement une volonté d’enfouir le passé supposé honteux des aïeux relégués aux antipodes. De nombreuses archives relatives au bagne ont été détruites après la fermeture de celui-ci.
Le défi de cet ouvrage s’avère donc triple : démontrer qu’il est possible de retracer une généalogie, même sur quelques générations, en dépit du « maquis archivistique » et de la dispersion géographique des documents ; permettre de faire le lien entre ce territoire, le plus éloigné au monde de la France (17 000 km), et la métropole à travers la mise en valeur d’un passé commun et proposer un panorama des sources concernant les multiples communautés installées progressivement en Nouvelle-Calédonie depuis le milieu du XIXe siècle.
Pour les historiens et les généalogistes, cet ouvrage représente le plus bel exemple de recherche sur l’histoire d’un lieu. Un modèle à suivre !
Le caractère exceptionnel de Porquerolles lui donne des vocations multiples : militaire, sanitaire, pénitentiaire, sportive, culturelle, environnementale, et même généalogique !
Pour tout le XIXe siècle et une bonne moitié du XXe siècle, les documents liés aux élections sont facilement accessibles et conservés en série 3M des archives départementales. Ils sont passionnants pour le généalogiste.
Epuisé
Ce douzième fascicule de la collection Théma se propose d’étudier les déplacements des individus et des familles en France durant l’Ancien Régime, la Révolution et le 1er Empire, de 1600 à 1814. Il vient en complément au Théma 6 consacré à la mobilité de nos ancêtres de 1814 à 1914.
Rien n'est plus difficile pour un généalogiste que de retracer l'histoire de familles dont le quotidien était fait de déplacements.
La connaissance des familles de nos ancêtres paysans passe par la découverte du cadre quotidien de leurs activités et, en premier lieu, de leur maison d’habitation et de ses dépendances. Selon les époques, les régions, leurs professions, leurs conditions sociales et leurs organisations familiales, dans quel type de maison rurale vivaient nos ancêtres paysans ? Avaient-ils élu domicile dans une maison isolée ou groupée avec d’autres ? Un bâtiment unique ou avec des dépendances agricoles ? Un logis de plain-pied ou à étages ? À cour ouverte ou à cour fermée ? Étaient-ils propriétaires ou locataires, fermiers ou métayers ? C’est à ces questions que ce Théma se propose d’apporter une réponse documentée…
La Révolution modifie dès 1792 les noms de lieux pour éliminer tout ce qui rappelait l’Ancien Régime ou fustiger les opposants : Toulon la rebelle devient Ville-Infâme, Marseille Ville-Sans-Nom... Dans chaque département, des dizaines de villes et villages changent de nom...
Qui n’a pas trouvé dans son arbre généalogique des pupilles de la nation ? Ce statut créé en 1917 pour les enfants des morts pour la France permet de retrouver en archives des informations familiales et les parcours scolaires.
Epuisé
En 1900, il y avait en France davantage de domestiques que de fonctionnaires. Le mot salarié lui-même était associé à l’idée de domesticité. Les familles qui employaient ces hommes et ces femmes n’ont souvent gardé d’eux que le souvenir de leurs prénoms. Et les descendants des nounous, jardiniers, chauffeurs, gens de maison… connaissent parfois mieux le nom des anciens maîtres que le parcours de vie de leurs propres aïeux. Pourtant, des pistes généalogiques existent, des informations biographiques peuvent être retrouvées en archives.
Epuisé
L’arrivée des Européens au XVIe siècle bouleverse l’équilibre de cette région du monde. Ils s’installent dans des îles vierges de toute population et obtiennent à d’autres endroits des concessions de la part des puissances locales. Des millions de personnes s’installent loin de leur pays natal. Parfois volontairement (comme la plupart des Européens), parfois attirées par la promesse d’un travail (comme les engagistes indiens), souvent contraintes par l’esclavage. Il est indispensable, avant toute recherche familiale dans ces régions, d’avoir en tête l’histoire de ces migrations et de savoir replacer les hommes dans leur contexte historique.